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 Un rat de bibliothèque. Ou deux. Who care. || Steesen Morten (Terminé ♥)

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Steensen Morten


Steensen Morten
► DC : Symington Clyde & Vsevolod Varlaam & Guarnicionero J. Piero
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MessageSujet: Un rat de bibliothèque. Ou deux. Who care. || Steesen Morten (Terminé ♥)   Un rat de bibliothèque. Ou deux. Who care. || Steesen Morten (Terminé ♥) EmptySam 5 Mar - 5:03







Steensen Morten



• Sexe ; Masculin; je ressemble à une fille peut-être?
• Âge ; 22 ans
• Origine ; Danoise
• Travail ; Bibliothécaire.
• Sexualité ; Pas de tes oignons.
• Groupe ; Transcendent.


• Ta musique préférée ; Le bruit des pages qui tournent.
• Ton fétiche ; Secret.
• Dr Pepper ou Coca ; Le thé.
• Grand ou petit ; C'est une question piège?
• Ton habit préféré ; Je remplace habit par bijou et je dis : mes boucles d'oreilles.
• Ta série préférée ; Je lis plus que je regarde la télévision. J'admettrais toutefois avoir un faible pour Sherlock Holmes, autant pour la série écrite d'Arthur Conan Doyle que celle reprise à l'écran par BBC.
• Tu aimes les concombres ? ; Avec un peu de sel.


Physique ;


I'm way sexier than you
Disons le franchement, tu as été gâté par la nature ou peut-être un peu trop choyé par les bons soins des gouvernantes. Tes bains ont toujours été les meilleurs qui soient; ce ne fut jamais de vulgaires savons de bas étage. Ils étaient de lait, de parfum aux odeurs exquises; ils ont imprégné ton corps, rendant ta peau douce et laiteuse. On y trouve aucune imperfection, elle pourrait refléter la neige si elle n'était pas si chaude. C'est que tu as le sang bouillant. Même au Pérou, le soleil n'a pas réussi à la ternir. Ce n'est pas parce que tu te couvres de crème solaire ou parce que tu te promènes avec un parapluie, te cachant dans l'ombre. La raison est bien simple; tu ne pouvais pas sortir lors de ta jeunesse, toi qui te retrouvais prisonnier de ta chambre ou du manoir. Ton éducation a même été faite à la maison via des tuteurs personnels et un peu trop stricts à ton humble avis. Ainsi donc, si tu as l'audace de te prélasser un peu trop longtemps à la plage, tu rougis à vue d'œil, prenant les teintes des homards.  Sauf que ça n'arrives pas souvent, tu n'aimes pas la sensation des grains de sable dans ton costume de bain, ces saletés qui refusent obstinément de partir et qui te démangent.

I always see myself in you, Vincent; you're like a mirror
Tes cheveux blonds tel le blé et tes yeux d'azure font tache avec la marée péruvienne. Même ta taille a tendance à les surpasser d'une ou deux têtes. On t'a bien nourri, gavé de protéine, de viande et de légume, et tu avais grandi à la manière d'une grande asperge ou d'une mauvaise herbe. Tes dents sont éclatantes, blanches comme l'ivoire. Tu as tout d'un aristocrate, d'un homme cajolé par l'argent. Tu ne l'as peut-être pas choisi, au départ, mais c'en est ainsi. Même tes vêtements trahissent ton allégeance à la classe supérieure. Ils sont soignés, porté avec une certaine élégance. Chemise soyeuse aux complets, passant ensuite par les vestes et hauts de marque. Tu ne t'habilles pas avec des haillons, il en serait hors de question. À tes oreilles, on retrouve deux anneaux aux couleurs d'émeraude, leurs éclats verdâtres sous la lumière attirant souvent le regard. Les bijoux, tu ne les portes peut-être pas dans ton cœur, sauf ces boucles d'oreille. Ils te sont un cadeau cher, devenant des biens précieux dont nul ne peut toucher. Autrement, tu évites, n'aimant pas t'encombrer d'alliages lourds et déplaisants ou optant pour des colliers relativement discrets, aux chaines fines et argentées



Caractère ;


Jealousy will drive you made.
C'en est devenu une maladie, cette jalousie qui est tienne. Elle t'étreint dès qu'il détourne le regard, dès que tu n'es plus le centre de son monde ; car il est le tient et tu dois être le sien. C'est comme ça. Tu tiques, tu serres les dents; tu ne veux pas qu'il sourit à autrui, tu ne veux pas qu'on lui parle; tu veux qu'il soit à toi et seulement à toi. Une boule se forme dans le fond de ton estomac, te retournant les entrailles, lorsque tu songes que ses pensées ne sont pas toutes tournées vers ta personne. Jaloux, voilà ce que tu es. Jaloux des autres, jaloux de ces quelques humains ou même de vulgaires bêtes qui trainent dans sa tête, taraudent son esprit. Parfois, le corde se brise et tu sors de tes gonds; le mur en paye souvent les frais. Vers ceux qui attisent ta jalousie, tu y réponds par de l'hypocrisie, un faux sourire qui en charme plus d'un, tandis que ton frère a le droit à la crise, aux hurlements et à l'hystérie.

What's mine is mine and not yours.
Ta jalousie n'a d'égal que ta possessivité. Ce qui est à toi est à toi et tu détestes lorsqu'un autre y touche; tu ne partages pas. Ton âme n'est pas de nature généreuse et tes possessions - que ce soit quelqu'un ou de simples livres - ne sont qu'à toi. Tu les ranges bien précieusement, les caches à la vue des autres, et tu aimerais tellement faire de même avec ton ainé. Sauf que tu le sais, tu ne peux pas l'enfermer dans une cage en or et le garder prisonnier dans ta chambre. Tu voudrais lui mettre des menottes en fer forgé, aux poignets et aux chevilles, et un carcan tout aussi lourd au cou. Tu y songes fréquemment, à cette idée de l'enchainer et de faire en sorte qu'il ne t'échappe jamais. As-tu peur qu'il disparaisse, de te retrouver seul? Peut-être. Mais, si on te le demandais, jamais tu ne l'admettrais. C'est que vous étiez un jour un seul être et, donc, vous vous devez de toujours être ensemble, et ce jusqu'à ce que la mort vous sépare. Un peu comme si vous étiez un couple marié. Seulement, secrètement, tu te disais que votre décès serait identique, serait la même journée, la même heure, la même seconde. Vous rejoindrez l'au-delà ensemble et, au paradis ou en enfer, il sera éternellement à toi.  Oui, éternellement.

It's easier to be someone else than to be myself.
La comédie, les fausses paroles, tu y excelles. Tu sais quand tu dois sourire et quand tu dois prendre un air contrit; tu sais comment paraître gentil, atrocement doucereux, alors qu'au fond ce n'est pas toi. Tu mets de l'avant un script déjà tout rédigé, devenant un banal personnage d'un banal livre. Sympathique, c'est comme ça que l'on te décrirait. Jovial, amusant, toutes les belles qualités qui font d'un homme un homme bon. Sauf que tu le sais et que tu le penses souvent ; ils sont idiots d'y croire, si faciles à fourvoyer. Il suffit d'être ce qu'ils souhaitent que tu sois. Te compliquer la vie et te prendre la tête avec les puzzles n'ont jamais été tes points forts. Plutôt, tu chasses les autres du revers de la main d'une manière imagée, devenant quelqu'un d'inintéressant et taisant tes pensées plus qu'offensantes. Outre ton frère, tu trouves rarement les autres comme quelqu'un de bien. Ils n'ont que des défauts que tu te plais à énumérer silencieusement. Quand enfin ils te tournent le dos, tu les regardes de haut, les toises avec dédain. Ils ne valent rien, ce ne sont que des larves. Tu désires leur cracher au visage, mais tu sais que ce serait malvenu, que ce ne serait pas digne d'un gentilhomme. Alors, tu t'abstiens et souris.

Every book got a different world and I have my own
Ta vie, tu la vois un peu comme un livre, les pages défilant lentement sous tes yeux et ta plume. Tu es celui qui la dicte, qui pose le crayon et gratte le papier ou tape les mots de chaque ligne, de chaque évènement. Le hasard ou la destinée? Aucun des deux ne dirigent tes pas ; c'est toi qui choisis et personne d'autre. Tes malheurs ou tes bonheurs, tu ne les remets jamais sur la faute d'un étranger ou d'un proche. Tu te vois comme l'auteur de ton livre, ayant l'impression de n'être qu'un vulgaire protagoniste. Tout tourne autour de toi; tu es celui qui importe, tout comme ton jumeau qui se retrouve avec le second rôle. Lui, il n'est pas un vulgaire personnage secondaire, de ceux que l'on pourfend d'une épée à la moindre occasion. Il est important, presque autant que toi, tandis que les autres ne le sont pas. Tes parents - quels parents, ils n'ont jamais compté -, tes amis - en as-tu seulement -, tes collègues - ils ne sont que de passage. Rien n'est réellement important; seul le dénouement de ton histoire importe. Tu feras tout pour obtenir la fin que tu veux, quitte à te mettre à dos le reste du monde. Tu conçois les choses comme tu l'entends et elles en deviennent erronées. Ce n'est pas la réalité qui se reflète au travers de tes prunelles. Elle est biaisée. Celle que tu vois, c'est celle que tu souhaites. Les personnes charitables deviennent des rapaces; les maris bons et aimants ne sont que des infidèles menteurs; les femmes pures ont leur corps encrassé de saleté. Tout devient déformé entre tes mains et, au final, tu n'en as cure. N'y a-t-il pas autant de vérité qu'il y a de témoins? Ça, ce monde décharné de toute beauté à l'exception de Vincent, c'est la tienne et tu y crois dur comme fer.  



Histoire ;


Once, the two of us were one
Tu n’as jamais été seul; une autre moitié t’a toujours accompagné, et ce même avant ta naissance. Vous étiez un jour un, comme tu appris plus tard, et, même devenus deux, vous avez toujours agis à la manière d’un unique être. Quand tu le vois, tu as l’impression qu’il est toi et, quand tu aperçois ton reflet, tu as l’impression d’être lui. Bébé, tu l’observais; tu t’observais. Tes petits doigts potelés ne pouvaient s’empêcher de taper ses joues, tandis que tu rigolais. Vous étiez identiques et, enfant, tu refusais obstinément de relâcher sa main. Cadet, tu te permettais d’être enfantin; on t’autorisait tes petits caprices. Malgré qu’aujourd’hui, ça n’a pas réellement changé. Avant, toutefois, on te trouvait mignon de t’accrocher autant à ton frère. Pire qu’une sangsue, tu ne le lâchais pas d’une semelle. Tu étais son ombre comme il était la tienne. Sauf que désormais, cette possessivité candide a été remplacée par une maladive. On ne dirait plus que c’est adorable; on dirait plutôt que tu es malade, que c’en est écœurant, voire dégoûtant. Mais ça, ça te passe six pieds au-dessus de la tête.

There’s always been our home and us; but no one else  
Né dans une famille aisée, tu n’as pourtant pas connu les joies de la richesse. Tu n’en as vu que les déboires. Tes parents n’avaient eu des enfants que pour poursuivre leur héritage, que pour avoir une descendance. Vous étiez autant désiré que repoussé. Entre ta mère et ton père, tu n’as jamais vu une once d’amour. C’était, après tout, un mariage arrangé, un de ces mariages qui profitaient à l’un comme à l’autre. Et vous, pauvres enfants, vous n’étiez que des objets utiles, qu’une marchandise. On ne vous voyait pas comme des humains et encore moins comme des gamins. L’amour? On ne vous en a pas donné et, pour combler ce manque, tu l’avais cherché chez ton frère. Il était ton réconfort et, au moins, aviez-vous la chance de partager une chambre. Même s’il y avait deux lits, tu te glissais toujours dans le sien, refusant catégoriquement de dormir seul. Autrement, c’était la crise et les pleurs. Tu voulais être avec ton aîné; les couvertures froides t’effrayaient. Il te réchauffait, te rassurait. Tu étais bien quand tu étais avec lui et dès que tu en avais la chance, tu te blottissais tout contre. Il était l’amour dont tu avais besoin, ton unique support moral.

This world was hell; so, in the end, we just created one of our own
Mis en cage, on ne vous laissait pas sortir et les rares fois où on vous permettait d’apercevoir le monde, on vous accompagnait et vous encadrait. Il ne fallait pas qu’il arrive quelque chose aux dignes héritiers que vous étiez. On faisait tout pour que vous soyez parfait; les tuteurs s’enchainaient les uns après les autres. Les cours n’avaient pas de fin et si vous refusiez d’étudier, de vous prêter à l’apprentissage, vous sautiez le repas et étiez punis. Vous ne serviez à rien si vous n’étiez pas intelligent. Enfin, si vous ne le deveniez pas. Alors, c’était du bourrage de crâne jour après jour. Ça en devenait épuisant; tu en perdais la tête. Jusqu’à ce que tu tombes sur les livres. Te souviens-tu du premier que tu as lu? Le Petit Prince. C’était la gouvernante qui vous l’avait apporté, en secret. Les nuitées où Vincent et toi vous étiez cachés sous les draps, vous créant une forteresse de tissu, pour lire et relire ce livre étaient innombrables. Tu le connaissais sur le bout de langue; il te faisait rêver, te donnait envie de voyager. Mais tu ne le pouvais pas. Lentement, la gouvernante vous apporta d’autres livres et, graduellement, vous commenciez à en dépendre. Ce fut pour votre fête que vous osassiez demander un bouquin. N’importe lequel, tant qu’il soit intéressant. À votre grande surprise, vos parents vous en offrirent; le passe-temps de lire, à leurs yeux, était merveilleux. Il vous cultiverait un peu plus, vous éduquerait davantage. Ce qu’ils ignoraient, c’est qu’ils allaient devenir votre échappatoire.

We loved those books; the world seemed so pretty
Votre adolescente se réduisait à passer vos journées au manoir, soit pour les cours particuliers, soit pour lire. Te souviens-tu comment ça a commencé? Non, probablement pas. Peut-être à la blague, peut-être par curiosité, mais un nouveau jeu s’ajouta à votre passe-temps. Vous répétiez les scènes des livres, vous amusant à devenir les personnages. C’était, en premier lieu, les scènes calmes, voire normales, puis le tout dégringolèrent au fil des années. Vous tiriez toujours au hasard celui qui interprèterait tel ou tel rôle et vous vous y cantonniez parfaitement. Votre curiosité était votre pire défaut, vous vouliez tout essayer. Les bonnes comme les mauvaises scènes et votre jeu, lentement, devint tordu. Si tordu et, pourtant, vous ne vous en aperceviez même pas.

Well, it’s a new country, but the walls are still the same
Un jour, vers vos 16 ans, on vous annonça que vous déménagiez. Vous vous rendiez dans un pays où la compagnie de vos parents faisait affaire. Le Pérou. Ça ne vous fit ni chaud ni froid, car vous restiez encore et toujours enfermé dans une fausse forteresse. Un pays ou un autre, quelle était la différence? Au moins, tu pus t’extasier dans l’avion, contemplant le hublot avec de grands yeux émerveillés, autant qu’un enfant l’aurait fait. Les nuages étaient jolis; on aurait dit des marées blanches. Tu ne t’en lassas pas, tout sourire, et heureux que Vincent t’ait laissé la place près de la fenêtre. Tu l’avais réclamée et crème comme il était, il te l’avait laissée. Malgré le bonheur de voyager, ce fut aussi la première fois que tu te rendis compte de ta jalousie, ayant eu envie d’engueuler l’hôtesse de l’air qui s’était faite si charmante, si souriante, envers ton frère. Tu l’aurais étranglée, cette truie.

I don’t want anyone else; I just want you
Vous deveniez des adultes, vous rapprochant de votre majorité, et, déjà, vos parents entamèrent les discussions de mariages. Mariages qui leur seraient bien entendu profitables. Tu ne voulais rien savoir. Jamais tu n’as levé le ton ni ne t’es montré désobéissant, sauf que ça, tu ne pouvais pas l’accepter. L’idée te répugnait et rien que penser d’emmener une femme que tu ne connaissais pas dans ton lit, tu voulais vomir. En fait, tu te rendais compte qu’outre ton frère, tu n’avais pas envie de partager ta vie avec autrui. Évidemment, un jour, ça a éclaté jusqu’à ce que tes parents vous menacent de vous déshériter et de vous mettre à la porte. Le petit problème, c’est que tu n’étais pas idiot et que tu savais user de la ruse autant qu’eux. Tu étais devenu aussi intelligent qu’ils le souhaitaient et user des mêmes méthodes qu’eux, les menaces et la sournoiserie, ne te dérangeait pas. La morale te faisait défaut. Tel père, tel fils.  « Si vous le faite, j’irai crier sur tous les toits vos sales petits secrets! » Tu les connaissais, toi qui t’amusais à les espionner de temps à autre, imitant quelques romans qui te fascinaient. « Je suis sûr que les journalistes seraient friands de vos petites liaisons! » Oui, tu avais déjà aperçu ta mère avec un autre homme; ton père avec une autre femme. La famille, au Pérou, était très importante et tu savais comment l’opinion publique en prendrait un coup. « Et vous voulez qu’on parle de vos petits tours fiscaux? Hein? » Là, encore, leurs petites manigances pour sauver de l’argent ne t’avaient pas échappé. Ils auraient dû verrouiller les portes de leur bureau.

It’s a new world; it’s ours
En voyant que tes mots, tes menaces, avaient les effets escomptés, tu en profitas. Comment ne pas en profiter? Ça aurait été idiot de ta part, de votre part. Tu t’affranchis de cette maison étouffante, convainquant tes parents de te payer une autre résidence plus modeste où tu trainas ton frère. Évidemment, tu ne pars pas sans lui. Tu fis un compromis avec eux; tu auras ta liberté pour les prochaines années, mais à tes trente ans, il te faudrait revenir à la famille. Il en allait de même pour Vincent. Vous devrez vous marriez, reprendre les rênes de la compagnie, mais d’ici là, vous pouviez enfin explorer le monde comme bon vous semblait. Tu avais envie d’essayer dix milles choses; de passer au peigne fin la majorité des emplois possibles au même titre que certaines conneries plus ou moins offensives. C’était pour combler ta curiosité malsaine et le premier boulot qui t’intéressait, c’était bibliothécaire. Le milieu carcéral te fascinait aussi; combien de bibliographies de tueur en série as-tu lues, as-tu dévorées? Alors, quand tu appris que Luriguancho cherchait des bibliothécaires, tu ne demandas pas l’avis de ton frère et tu le trainas jusqu’aux portes de la prison pour passer les entrevus.






J'aime bien Varlaam tiens ;


• Comment es-tu là ; Ça remonte à une longue histoire de premier compte, puis de deuxième et troisième avant d'atteindre le quatrième! OAO
• Code ; J'me le valide ♥
• Pays ; Toujours où on se gèle le cul (j'ai eu très froid aujourd'hui, on me laisse ma vulgarité pas très vulgaire).
• Âge ; 21 ans, bientôt 22. Je me fais vieille.
• Sexe ; Je n'ai pas encore perdu mes deux amas de chair sur la poitrine. Tu veux toucher? êwe
• Cookies ou brownies ; Smoothie!!! èAé
• Yaoi ou Yuri ;  Yaoi ♥
• Avatar utilisé ; Tripp de DMMD

© Flyremoon.

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